l’irrépressible passion positive que provoque l’amour

12 juin 2014 par Luci Sogorb

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Des études d’imagerie cérébrale cérébrale ont montré que les jugements portés par la mère sur son enfant ou par deux amoureux l’un envers l’autre, sont influencés par des désactivations cérébrales.
Celles-ci concernent des régions du cerveau engagées dans la production d’ émotions négatives et dans le jugement critique d’ autrui.
Voici démontrée indirectement, ou pour le moins illustrée, l’irrépressible passion positive que provoque l’amour et qui l’oppose, dans le cerveau humain, à la logique de raisonnement critique.
La cognition est ici désactivée; elle est réduite au silence neuronal
– « le silence assourdissant d’aimer » ( louis Aragon) – et la morale n’ y résiste pas :
« Nous n’avions pas fini de nous parler d’amour. Nous n’avions pas fini de fumer nos gitanes. On peut se demander pourquoi les cours condamnent un assassin si beau qu’il fait pâlir le jour » (Jean Genet)

Olivier Oudé

Luci Sogorb-Praticienne de neurofeedback-Paris

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Étiquettes : amour, cerveau, imagerie cérébrale

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